Claire Petit |
« Unsixième » est une photographe amatrice, avec une formation en Arts Plastiques.
Après une longue période basée essentiellement sur les expériences et la découverte de la technique photographique, elle s’est intéressée au thème de l’identité, qui provoque bien des polémiques aujourd’hui. Une époque où l’identité dévoilée est parfois difficilement franchissable.
Comment aborder plastiquement et provoquer une réaction lorsque l’identité d’un être n’est plus visible ? Tels sont ses questionnements. Rendre visible l’invisible, faire évoluer le concept de portrait sont ses déclencheurs créatifs.
Elle fait le choix alors, de travailler le thème de l’humain en mouvement. Son parti pris est d’utiliser la vitesse de l’appareil photo et celle du modèle, comme révélateurs d’une visibilité impossible à « l’œil nu ». Elle donne à voir une des réalités existantes.
Parallèlement, elle travaille sur une série qu’elle appelle « Antiportraits ». En utilisant, la « technique du trompe-l’œil », les modèles de sa série se positionnent d’une manière à ce qu’elle ne puisse rendre visible leur identité. Leur visage est dissimulé. La présence de dos, sans tête lui laisse croire qu’elle perpétue le souvenir du modèle à travers son âme. Elle souhaite donner à voir une partie de l’entité du modèle et non de son identité. Ce qui constitue peut-être un peu de son essence.
Après une longue période basée essentiellement sur les expériences et la découverte de la technique photographique, elle s’est intéressée au thème de l’identité, qui provoque bien des polémiques aujourd’hui. Une époque où l’identité dévoilée est parfois difficilement franchissable.
Comment aborder plastiquement et provoquer une réaction lorsque l’identité d’un être n’est plus visible ? Tels sont ses questionnements. Rendre visible l’invisible, faire évoluer le concept de portrait sont ses déclencheurs créatifs.
Elle fait le choix alors, de travailler le thème de l’humain en mouvement. Son parti pris est d’utiliser la vitesse de l’appareil photo et celle du modèle, comme révélateurs d’une visibilité impossible à « l’œil nu ». Elle donne à voir une des réalités existantes.
Parallèlement, elle travaille sur une série qu’elle appelle « Antiportraits ». En utilisant, la « technique du trompe-l’œil », les modèles de sa série se positionnent d’une manière à ce qu’elle ne puisse rendre visible leur identité. Leur visage est dissimulé. La présence de dos, sans tête lui laisse croire qu’elle perpétue le souvenir du modèle à travers son âme. Elle souhaite donner à voir une partie de l’entité du modèle et non de son identité. Ce qui constitue peut-être un peu de son essence.